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À l’heure où blanchit la campagne…

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2 réponses

  1. andré
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    Ils sont devenus fous….Les élus socialistes ont perdus leur sang-froid. Renoncer à toute représentation de gauche dans certaines régions…cela pose question ! .Appeler à voter Xavier BERTRAND et même ….Christian ESTROSI !!! C’est fort ! Heureusement que PETAIN n’est plus en politique. Et maintenant Manuel WALLS nous fait le coup de la GUERRE CIVILE ! TROP C’EST TROP ! Nous avons aussi Laurent WAUQUIEZ pour notre dose de « bourdes » et SARKOZY pour quelques « pitreries ». Seul point positif, c’est que tous ces événements lamentables sont à l’origine de tous ces dessins de grandes qualités: percutants, piles justes….tout n’est peut-être pas perdu ?

    • LUKO
      | Répondre

      Merci André, d’apprécier ces dessins.

      Dessins inspirés en effet par mon écoeurement devant cette situation, cette démocratie illusoire.
      Ce foutage de gueule qui atteint des niveaux records.
      Cet état qui veut nous expliquer qui sont les gentils et qui sont les méchants.
      Qui se permet même de donner des leçons de démocratie à l’étranger…
      Les grosses ficelles du fascisme sont bel et bien utilisées à Matignon, où Valls, en mettant le mot « République » dans chacune de ses phrases, pour tromper son monde, utilise la même technique que l’ennemi qu’il désigne: Comme le FN, il attise les peurs.
      Depuis des années, on entretient cette ambiguïté bien utile, au sujet du FN, on dit que ce n’est pas un parti républicain, mais il concourt aux élections républicaines. Et quand il s’approche du pouvoir, on hurle au loup.
      Je sais très bien d’où vient le FN et je n’en veux pas.
      Mais de là à jouer le jeu de l’hystérie voulue par Valls, après le premier tour…
      Ce qui se passe est scandaleux, c’est tellement facile et convenu de crier aux « fachos ».
      Pendant ce temps, le peuple ferme les yeux sur ce que fait le pouvoir en place.

      Aujourd’hui, n’y a ni fraternité, ni égalité, ni liberté.
      Liberté de quoi?
      De faire barrage à l’ennemi qu’on me désigne?
      Mais pour faire barrage à ce qui est déjà en place…qu’est-ce qu’on fait?
      Tu as raison, tout n’est peut-être pas perdu, mais en tout cas, il n’y a pas de solution dans le vote.

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